Fortes de ce succès et conscientes de la détermination des personnels, les organisations syndicales se sont rapidement réunies pour envisager les suites de la mobilisation. La balle est maintenant dans le camp du premier ministre. « Si d’ici au 24 septembre il n’a pas répondu à leurs revendications, les organisations syndicales se retrouveront très rapidement pour une nouvelle journée de grève et de manifestation »