Dans une lettre commune au Ministre de l’éducation début septembre, nos organisations syndicales SNUipp-FSU, SE-UNSA, SNUDI-FO, SGEN-CDFT et CGT Educ’action dénonçaient la suppression massive et brutale des contrats aidés dans les écoles. Ces 23 000 suppressions d’emplois ont des conséquences dramatiques tant pour les personnels renvoyés ainsi au chômage que sur le bon fonctionnement des écoles et établissements. Les missions essentielles que ces personnels exercent : accompagnement des élèves en situation de handicap, aide administrative à la direction d’école… les rendent pourtant indispensables.
La réponse apportée par le ministère lors de l’audience du 6 novembre n’est pas celle attendue.